Spartacus : Gods of the Arena

Comme sa grande soeur Spartacus : Blood and Sand, l'histoire se passe dans le ludus de la maison Batiatus. L'histoire se passe avant, puisque le père est encore vivant, Crixus n'est pas encore dans la maison, et Spartacus n'éxiste évidemment pas encore.

La recette est en gros la même que sa grande soeur : des ralentis, du sang, du sexe et un peu d'histoire, aussi.

Evidemment, c'est un genre qu'il faut aimer, mais mine de rien, on se prend très vite au jeu. Entre les histoire entre gladiateurs (qui veulent en gros montrer que c'est bien lui qui a la plus grosse), entre maitres et combats... il y a de quoi faire. Faut aimer voir des hommes nus, et des hommes bodybuildés qui se battent. Oui, moi aussi, j'ai un côté pervers.

Les intrigues qui font toute l'ambiguité de Spartacus : Blood and Sand se mettent en place, on voit comment tous les personnages en sont arrivés là.

En seulement 6 épisodes, la série est riche en évènements. La série a, au départ, été créée pour pallier à l'absence de l'acteur principal de Blood and Sand, en plein combat contre le cancer. Puis, il a été dit que finalement, l'acteur allait être remplacé, et que Blood and Sand passerait juste après Gods of the Arena. Et puis, force est de constater que les épisodes sont passés, et qu'on a toujours aucune trace de B&S. (Apparemment, la série est prévue pour 2012, avec un remplacant.)